Je dépose l'ensemble de mes mots à tes pieds Comme un violoniste confierai son archet Toi, ma statue de marbre dans ma vie figée Je crois que tu n'entends plus tout l'Amour que je te porte Toi, mon aorte J'aimerais tant faire en sorte Que mon discours te parvienne tant je n'en peux plus Je te vois tel un Dieu sans équivoque Un talentueux même si parfois glauque Saches que je te veux, tu peux me trouver sote Mais je t'aime plus que tous les envieux En attendant, l'horloge trotte N'attendons pas les chrysanthèmes Cesses donc ce jeu L'Amour n'est pas un thème en crise Crois moi je sais que tu feras de tous mes ans le Mieux Ô TOI mon roi de pis(t)(e) !