Elle : Arrête ce jeu, vilain coureur Ta leçon, je la connais par cœur Ma décision est désormais prise Point question que je la révise Si jamais je croirai en toi C'est comme tenter de retenir l'eau entre mes doigts.
Lui : Tu as mille fois raison, jolie demoiselle Je ne t’en veux pas d’être aussi cruelle Ce qui me chagrine et me fait bien mal Qu’avec toi je n’ai pas pu avoir le dernier mot Vois-tu ! Sur mon carnet de conquête cela fait défaut
Elle : Pour avoir pris ton existence à rebours et Avant de mettre fin à ce dialogue de sourds Voici ma dernière réponse à votre discours : Des marécages où tu aimes te baigner De leur odeur écoeurante tu t’es imprégné Vois-tu! Tu n’es pas la belle prise qui me fait rêver