Lorsque l’ardeur déserte mon cœur d’amoureux Je ne garde en mémoire que des souvenirs houleux Je prends mon luth et m’isole, pleurer ma solitude Mon cœur, mon corps et mon âme implorent la finitude Ma vie qui fût un champ de calme et de quiétude Est désormais dévastée sous les assauts des vents, Ayant presque touché la totale déraison Il m’a suffit d’assister au défilé des saisons Serein je me plie à la volonté du Seigneur Pensant, sans fatalisme, que demain sera meilleur