Ange de mes douces nuits Fée de tous mes désirs d’enfant Merci de m’avoir sacrifié ta vie De m’avoir aimé et chéri tendrement
J’étais béjaune, enfant irréfléchi Face au danger, souvent imprudent Hier, je conjuguais des idioties À présent, je conjugue le conséquent
Tu es ma mère mais aussi ma mie Tu es l’objet de toute mon admiration Toi qui es à l’origine de mon euphorie Ne compte pas mes baisers…… Ils sont au nombre des rides sur ton front