Quand le poids du temps Courbera mon échine Que les lumières du ciel Useront mes rétines Que l’envie de vivre Fuira mon corps en débris Je voudrai, que tes bras Soient mon dernier abri
Quand mes cheveux blancs Étaleront ma vieillesse Que mes mains tremblantes Cesseront leurs caresses Qu’à tes capricieux désirs Mon corps... ne pourra plus répondre Je voudrai que tu sois le seul A pouvoir me comprendre
Quand les rides abîmeront ma peau Que les étoiles fuiront mes yeux Que mes os écumeront la souffrance Que mes pas ne pourront suivre ta cadence Garde le sourire et souviens-toi