Loin d'etre atrophiée, ma conscience m'a apostrophée Mais Je reste effrayée à l'idée de partager ou méme d'en p Car mon voilier d'espoir a été saccagé Voilà que je finis dans mes pensées naufragé.
C'est ainsi que dans un océan d'inquiétude Se noie mon effroi Traçant farouchement à l'encre de mes yeux Mon immense désarroi
J'avance ,les devance , puis je capitule Je me renvois à mille et une questions existentielles Puis tout me parait anodin , je deviens incrédule . Je reste éveillée. m'interdit de rêver Et de faire couler des larmes Car ma fierté restera pour moi ,ma plus belle arme.
Certaines choses se disent d'autres pas. Le silence est d'or Et les vagues de nos mots ne sont Que l'écume de nos remords.
J'avoue qu'ils tirent à hue et à dia Aujourd'hui avec toi demain contre toi Alléchante leur vie de rois. Diable que la misanthropie l'emporte sur moi Alimente mes phobies et déroute mes choix. Sonne l'heure du festin , Ils m'ont magistralement fait perdre ma voie Je m'incline Et jure que sur mon utopie je tirerai une croox
Voilà que j'aperçu mon bain aux pétales de roses Que j'ai finalement vite délaissé à la vue de ce destin morose Je n'avais qu'une envie celle d'une revanche, Or c'est Vidée et lassée que j'abandonne mes songes.
Je continuais à rester emmitouflée dans mon lit, Me voilant la face car, Mes rêveries m'avaient pourtant consciencieusement avertie Oui , J'ai bien peur qu'elles n'aient changé de cap cette nuit