Ébloui sur ce quai Je voyais cette ineffable femme Battant mon coeur de flamme A vaincre les erreurs passées A vaincre les cieux ténèbreux Mais Dans cette inertie j’échouais
Et quand tes yeux m’éclairent Je renais et te dévisages À en perdre mes repères A oublier mon entourage
Et quand tes lèvres me foudroient Je m’incline devant ce choix De feu et de glace et je fond Sous les empreintes d’attention
Ta voix me soulève m’alerte À en voir siffler mon être Qu’advienne les gouttelettes Qui cognent sur mes pas et pénètrent
Dans cet esprit aux jeux séduisants Où même ton regard en devient charmant O douce femme de l’autre côté du quai Devant toi ces rails qui me font dérailler
Noircissent le temps d’une absence L’idée de ne plus jamais se revoir Veuillez excuser mon impatience Mais vos charmes m’ont redonnés espoir