Elle est d’un divin recueil Une ode de légèreté qui m’éveille A n’en plus dormir, à n’en plus souffrir La misère se dissipe dans les rires Comme la fumée dans les airs Voilà ta robe qui se perd Mes regards devenant ton repère S’évadent, un mystère une mélancolie De mon oisiveté se dégage le paradis Un poème, une abeille, un dilemme Puisque tu es belle et sereine A faire sonner les cathédrales A faire trembler les citadelles A frémir ma peau je n’entends que ta voix Ton passé s’oublie dans tes joies Ton futur embellit l’au-delà Je frétille, je divague et tu es là