Quand l’enfance s’efface Par la vie qui la dévaste Le long des chemins si sombres Lui rappellent nos rires Pesant sous ces larmes Le souvenir lourd s’entête Quoiqu'elle en fasse Coulant aujourd’hui sans cesse Au fond de ces pensées, un stress Qui la délaisse à en perdre haleine Glissant lentement, elle l’entend à peine Ce bruit qui susurre, ce bruit qui murmure Au son d'une note étrange Coulant dans ces courants Où vogue avec ses hôtes Les romans d'un moment Rangés au fond d’elle Les tiroirs d’une vie si réelle S'éternisent et relisent Les rêves les plus fous Allant bien au-delà De ceux, espérant Avoir dans leur vie Les joies d'un avenir Les nuages se découvrent Laissant son cœur rêver D'une passion révélant Les envies de vivre Aux aurores d'un avenir Glissant au fil des heures Dans ses mains créant bonheur Laissant son parfum guider Leurs jour et nuit meilleurs Au rythme de ce sablier Portant à ces yeux brillants Le miroir de son futur Imagination d'une nuit Élan d'un souffle nouveau Elle conquerra ce visage Effacé de tristesse Donnant sourire luisant À ces regards soutenant L'idée d'une aventure Apaisant ces remords Toutes ces idées sont vaines Comme un tourbillon de peine Lâchant ces idées sans haine Comme un ouragan déchainé Lâchant ces idées sans haleine Comme un souffle épuisé On espère tous une histoire Au fond de nous, y croire Où certitude, est bonheur Si différent, mais semblable Partageant une intensité, si remarquable Où poésie est actrice Si différent mais magique Vivant l’inspiration si anecdotique Aux uns, si passionnant aux autres Elle éprouve l’envie, de le connaître