Sur ces mots d’amour Je suis déjà en retard Au départ de ton parcours Est ce un hasard
Le fait d’avoir vu encore La beauté de ton corps Illuminait mes lèvres D’un parfum d’orfèvre
Je voyage là où les heures se perdent Pour ne jamais t’oublier à chaque retour Que les fleurs se couchent sur tes bonjours Et laissent place aux bonnes ondes
Des printemps renaissent et apaisent Les solitudes que la vie empoisonne Au fur et à mesure que le temps passe A ne plus confier l’instant et déraisonne
Les sentiments volés aux sourires enjôlés Chavirant dans les rimes aux humeurs fanés Alors j’ai décidé de te libérer De ces chaînes cerclées en ta défaveur