L'amour passait là Dans ce magasin de souvenirs Tu trainais tes souliers Sur un marbre blanc Donnant ta légèreté Partagé par un regard Me laissant à travers cet étalage d’une chaleur soudaine Tu enflammes mon Sang Non sans gêne Tu me bousculas d'un coup Et dansas au milieu De cette magie Au creux de mon regard Tu illumines, exalte le moment Et dansas au milieu De cette magie Et le monde frissonne Emportant ce désir au bout de la nuit Tu danses, éclabousses, chavires Au bord de cet océan Débordant de joie Éclatante sur mon corps Tu tentes de dessiner l'entente D'une nuit assommant Ses tristesses déroutantes Tu dansas au milieu De cette magie Et agis sur mes lèvres Tu animes ce bonheur Tu animes nos corps Tout au bout de la nuit En guérissant nos blessures Sur ces yeux émouvants A la tombée de la nuit Comme mon soleil intérieur Tu t'illumines à mes yeux scintillants de rêves Quand tes mains me porte intérêt à ma chair Si choyée par tes baisers mystiques, Viol de mes sentiments Qui s'évadent à ta rencontre Acceptant ce duel D'un pas délicat Tu me surprends Mordant ma vie Vierge de sensualité S'imbiber d'un nectar onctueux tel Un pétale de rose à peine éclos Évadant ces papillons Venus d'un conte de fée Reliant nos histoires passées à aujourd’hui Nous continuons cette nuit au rythme de cette musique Par nos corps se frottant Et s'immiscent en toi Cette mélodie naissante, grandissante Laissant le souvenir de ce moment Écrit pour l'éternité