J’étais parti vers le ciel L’immensité, le silence absolu Mais voilà que tu es apparu Là où se bâtissent les merveilles
Mon coeur tout entier était emprisonné Dans cette citadelle imprenable Où les murs tapissaient l’insoutenable Vérité de solitude délaissée
Mais ce clin d’œil à la vie a aspiré ce mal dans ce tremblement de terre aux lois sauvages Je me suis relevé dans ces failles de cristal Ou pétillent tes regards au milieu des paysages
Je respire les sentiments La beauté et l’espérance Déchaînant les éléments Disant bonjour à la chance !