Dans cette sphère sans atmosphère J’étouffe de ces mauvais caractères Qui brutalisent nos terres, nos familles Petit à petit nous déshabillent
La cité se rebelle devant l’hôtel Elle est triste, infidèle Quand le sommet en devient sourd La haine embrase les alentours
Je lui refuserai tout
Elle courait dans les rues de la liberté Elle chantait aux boulevards de la fraternité Pour un brin de gaité, d’égalité Je respirai comme un soleil d’été
Pourtant
La cité est terne et pathétique Quand elle méprise la république Alors que l’entraide a besoin d’aide Avant que notre Patrie décède
La cité s’élève, elle est belle Quand elle s’extériorise dans l’espoir Ses couleurs deviennent immortelles Alors aujourd’hui je peux y croire
La cité est belle, joli remède Quand elle s’humanise et se rassemble Quand l’ego s’enterre face à l’entraide Alors tout devient véritable