Le chagrin m'a envahi aujourd’hui D’apprendre tous ces ennuis J’ai pensé à toi mon frère Que la vie ne manque pas d’air
Où chaque nouvelle me désespère Mais dans mon for intérieur, j’espère Te voir, des yeux, la couleur de tes joies Qui nous liera de plaisir dans nos vies Et nous rappellent ces souvenirs ensemble
Pensant déjà à nos futurs qui nous rassemblent Sur ces allées et venues Prodiguant ces fous rires Signalant la guérison de tes blessures Donnant oxygène aux souffles Qui rassurent nos cœurs Pour qu'enfin nos corps respirent encore