La passion me dévore chère Joséphine Et je suis las de mes insomnies Qui depuis des mois me turlupinent Devant ces vagues cognant les rochers Je m'éclaire d'un espoir d'une envie Soufflant les bougies de ma jeunesse Chantant les exploits de tendresse Qui se partagent, entre histoire et caresses Mais cette nuit, cet orage me glace Il me terrifie, il m'émeut, il s'immisce Au plus profond de mon âme Quand toi Joséphine tu m'acclames D'un coup je me réveille et m'enflamme Dans mes vers et dans tes bras Où d'un coup ce fil de vie s'arrêta Pour t'accueillir encore et encore Pour te plaire toujours et toujours Que cela ne cesse que cela nous plaise Dans ma vie, dans mes souvenirs Il y aura toujours ton corps Qui hantera, célébrera et chantera nos plaisirs Où l'aube de Joséphine illuminera mes désirs