La lecture d’un ver pour une oreille tendue A percé les mystères de cette belle inconnue Où même les hirondelles ont perdu leur chemin Sous ces divins secrets dévoilés sur cette terre Qui sème les graines fertiles aux champs d’éther
Se poursuivant dans les allées de l’aurore Nous aperçûmes les jardins de la gaieté Absorbant ce corps couché sur ce long rocher Où l’éternel plaisir m’apparaissait encore Sous une pluie ou un soleil rien de pareil
Quand ces perles ruisselaient dans ses crevasses Nous aperçûmes de là-haut la belle bleue S’enivrer dans cette sphère avec classe Autour d’elle l’infini étoilée en feu Dans ces nébuleuses rayonnant l’univers
Ce petit bout de vie dans ce vide Anime mille passions et folies Auquel s’attache l’homme sans répit Quand ils protègent son berceau de vie La détruire en serait stupide