Aujourd’hui le vent s’essouffle Dans ses avenues qui insufflent Les musiques qui t’éraflent Un petit bout de ton avenir Maquillant notre idylle Alors mes choix s’abandonnent Dans tes bras de madone Je m’ouvre les portes des souvenirs Qui remplissent ma vie, mes libertés Bouleversant les frontières de l’ennui Tellement j'aspire de toi Tellement je suis vide sans toi A en oublier qui je suis A en devenir poussière J’en rêverai à jamais Dans les instants, l’éternité C’est le peut-être au toujours Qui envahit mon être L’amour peut-être, l’amour toujours Alors je m'éprends encore de toi Apprivoisant l’idée, ton univers Au travers de nos instants ensemble Découvrant l’envie, ton soleil Je m’ouvre aux étreintes brûlantes Séchant mes larmes pensantes A ton corps de madone Je me ferme aux portes des tristesses Qui défie ma vie, mes ivresses Ouvrant les frontières du plaisir Tellement je veux de toi Tellement je ne suis rien sans toi A en oublier qui je suis A en devenir poussière J’en rêverai à jamais Dans les instants, l’éternité C’est le peut-être au toujours Qui envahit mon être L’amour peut-être, l’amour toujours Tellement je veux de toi Tellement je ne suis rien sans toi A en oublier qui je suis A en devenir poussière J’en rêverai à jamais Dans les instants, l’éternité C’est le peut-être au toujours Qui envahit mon être L’amour peut-être, l’amour toujours