Méchante, cruelle Mais que tu es belle Au travers de mon sommeil J’irai te chercher à mon réveil Car quand tu es reine Tu m’émerveilles Chaque minute, chaque heure Tu me rends l’appareil
Prouesse éclatante Miroir qui me hante Quand tu mes apparente J’admire ce corps, tu es éblouissante
Mon cœur bat à entendre Le printemps de notre rencontre Près de toi je m’y prêtant à t’attendre Pour que la vie soit resplendissante Même si cette histoire est si pesante
Alors cesse de te pendre Dans tes pensées si attristantes Alors qu’au bout il y a notre entente