Les lacunes, les misères se taisent Quand tes regards m’attendrissent Sous tes doigts fins et désireux J’en deviens un esclave amoureux Après chaque aller-retour
Les feuilles aboient sous le vent De ton souffle émouvant Les cerisiers fleurissent de nouveau L’entremet nourrit les corbeaux A accourir à ton secours
Les Échos secouent toutes les vagues Prolongeant tes pas vers l’infini Arrive l’univers étoilé, ce paradis Au silence assommant je vogue Vers l’inconnu parcours
Les filatures se défilent encore Et mes secrets se déshabillent Quand je rencontre enfin ton corps Ma folie, mes sens deviennent volubiles A t’appartenir pour toujours