O compagnon des fantaisies Raconte tes épiques venues Ravisant les ombres de nos malentendus A mordre tout ce qui appelle à la vie
O compagnon des routes, des folies Sauves-nous de ce qui reste d’humanité Dans ce monde de querelles, d’atrocité Pour voir les éloges de la paix que je chéris
Plus que l’âme de mes désirs Qui s’envole à tes moindres absences Qui s’efface dans l’excès de nos violences Pour toi les hommes devront s’affranchir
De tous ces méfaits, j’aimerai bâtir Les frontières contre toutes nos haines Qui éclaboussent chaque idée vaine Et demain, ensemble s’écrive AVENIR