Oh mon amour Le vent glacé me déshabille A t’écrire la mélodie D’un contour en tonnerre Et te perdre dans l’alcôve De mes splendeurs Tandis que tes yeux se (re)ferment D’une lueur d’une faveur
Oh mon amour Le rien s’immisce et me brise A soulever l’artifice D’un feu qui s’extase Et ressuscite les âges De tes splendeurs Tandis que mes yeux se fige D’une noirceur d’une peur