Je n'ai pas perdu l'envie du bonheur Quand je t'ai vu partir pour un ailleurs Où les feuilles avaient un goût d'automne Au bruit d'un son d'un chant monotone
J'avais perdu le rythme des saisons Quand l'absence devenait la raison Sous ce manteau l'aveu l'innocence Me collaient à ton indifférence
Aride, glacial et mystérieux j'ai enfin vu Ce brûlant regard délaissant cet imprévu Me condamnant dans ce doux cercle vertueux
Les années les saisons cachent ce visage Au doux nom de l'amour souffle d'un passage Les vents m'ont offert l'été d'un nouvel amour