Je n’aime pas les solitudes Qui me résistent et me déshabillent Aussi vite que les vents rudes Nous transportent, les mauvaises nouvelles
Et les liqueurs de nos sens s’enivrent quand l’odeur de la gaieté s’invite Au delà de l’innocence, allez y faites De ces fiers instants et nous délivrent
Les charmes, les années et la vie Mêlant les bouffées de chaleur Aux amertumes d’une tétanie Qui s’engouffre au fond des cœurs
Dès que les brumes s’étalent Tout le long de nos sentiments Sous couvert de nos idées pâles Annonce sans mal, notre égarement
Mais voilà, le rayon, l’éclair de nos chairs Épouse, les habitudes en overdose D’un bonheur, d’idéal et qu’éclôt la rose D’un pétale aussi pur qu’un cri de tonnerre