Encore un matin Où le sommeil m’appelle À sentir tes deux mains Sur mon corps qui s’éveille
Une galaxie dans tes bras Et mes yeux dans tes yeux C’est notre univers notre espace Où les désirs les avalanches passent Comme de la neige sur une fièvre Je fond sur la chaleur de tes lèvres Et plus rien ne me retiendra Et Je m’envole tout droit vers tes cieux
Je suis trop chanceux Alors ne blesse pas Cet espace envieux Ces espaces aux avalanches passées
Quand je te vois Je respire l’immensité Et je te sens jusqu’au bout de la nuit
Quand je te vois Je désire fuir mon passé Et je me libère de mes ennuis