Aussitôt que le jour se lève Je partirai sur les chants au bords des rives Où l’amour est un édifice une poésie Où ton coeur se perd dans ma mélancolie
Qui assourdit chaque seconde Qui dessine chaque siècle Devant cette lune féconde Devant ces regards espiègles
Que ferais-je sans toi Que dirais-je sans toi A en perdre ma langue Voilà mon coeur tangue
Vas-y lances-toi J’ai la foi au fond de moi Comme un coup de tonnerre A en tomber par terre
Quand tes bras se dirigent vers moi Ma peau frémit mes jambes fébriles S’élancent sur tes mots sibylles Et j’y crois encore à ta loi
Malgré mes larmes en décadence Et les flaques où tes pas flanchent A méditer de toutes mes absences Qui ont volé la douceur de tes hanches