Quand même les élans du coeur Transperce avec symphonie Toutes les misères du peuple Ou vogues sur ces litanies Tous ces mots comptant nos heures
J'aperçois en toi un avenir Loin de ces combats inutiles Prends-moi contre ton corps Serre moi fort, serre-moi encore Regarde- moi que je t'admire
Loin de ces corps endormis Pesant chaque jour dans nos têtes Tes yeux sont la seule religion Qui me porte toute cette attention Dans cette vie désuète et bête
Souviens-toi, m'oublie pas Dans tes pensées s'endort Les livres de nos amours
Éternel espoir en ce monde Imaginant voir la lumière Au bout de tes bras fiers
Ajoutons les parfums d'autrefois Au milieu de la foule évanouie Libère-moi, sauve-moi auprès de toi