Quand minuit se passe Le long de tes bras La journée n’en sera Que plus belle sous ton aile Comme une hirondelle faisant son printemps Je t‘embrasse et repasse vers ces paysages Merveilleux ou tes mots m’encolore et Me réjouisse de ces jours magiques A tes cotés nous nous ennivrons Toujours et ensemble Coulant au gré de ces rivières Par un courant glaciale et si chaud à la fois Guidant la voie, chantant la voix