J’ai perdu le coeur a la raison Malgré la tentation la désillusion Comme une malédiction Je me suis évadé vers ce peloton
Où mon amour a été exécuté Lynché puis jeté sur ces allées Où seuls les cœurs solitaires Résistent et franchissent ces cratères
Parfois les sentiments nous trahissent Parfois les sentiments nous envahissent Mais jamais ils nous disent leurs jugements
Mourir sur cette mélancolie Sauter sur cette scène Au plancher aveuli Et s’écrouler de peine
Comme la misère se réveille Sous ces joutes acérées Et je saigne et me baigne Dans ces lacs où règnent
La précarité des attirances Feignant les apparences D’être celle qui nous aime Nous adule et nous ensorcelle D’un futur coulant dans nos veines Et lui dire à foisons qu’elle est belle
Souvent les mots nous retiennent Souvent les mots nous appellent Mais jamais nous disent nous soutiennent
Mourir sur cette mélancolie Sauter sur cette scène Au plancher aveuli Et s’écrouler de peine
Comme la misère se réveille Sous ces joutes acérées Et je saigne et me baigne Dans ces lacs où règnent
La précarité des attirances Feignant les apparences D’être celle qui nous aime Nous adule et nous ensorcelle D’un futur coulant dans nos veines Et lui dire à foisons qu’elle est belle