J’ai pris goût de la vie J’ai pris le goût du bonheur C’était un soir de juillet Où la lune brillait J’y voyais ton reflet Toi dans tes souliers Tu resplendissais Et mon coeur palpitait Aux coups de tes baisers C’était un soir de juillet Où Paris était illuminé Par tes excès Tu étais au bord du quai Où coule la Seine Sur une note de faveur La vie en fut chavirée Et mon coeur en sonnet Chantait ce soir de juillet A en oublier mes peines A te dédire ce poème