Le vent sur les rochers murmure le nom des âmes Qui se rejoignent, ici, pour pleurer bien des drames Où l’homme, et son ego, a brisé l’anathème De la muse dont il parle, tout en disant : « Je l’Aime ! »
Devant toi, je le jure, de baisser mon armure Qu’elle soit faite de venin, de pleurs, ou de tortures Cupidon, je te prie de t’approcher de moi J’attendrai, chaque jour, ta piqûre sans effroi
Pourquoi ne vois-tu pas, que je suis fait pour cela Que ma vie est heureuse, quand tu guides mes pas Si mon cœur s’est fermé, c’est à force d’espérer Celle dont les pas, vers moi, tu voudras bien guider.