Le soleil de Djerba, les amis, la vie quoi ! Le vent posé sur les palmiers, cheveux ébouriffés Puissante terre d’Afrique, la mer sous nos pas A peine commencée, une histoire fatiguée
Mais reste cet Ami qui, mon âme, embellit Ecoute avec tendresse, mon cœur qui s’écrie : « Pourquoi cette souffrance, chaque pas de ma nuit ? Alors qu’il suffirait d’aimer, l’homme que je suis ! »
Ô Dieu, de là-haut, qui voyez toute chose Aidez-moi, je vous prie, à croire que les roses Friandises d’Amour, de l’aube avant le jour De mes larmes à mes rires, proclament le retour...