Permettez ce baiser aux allures dérobées, Douce et naïve bise déposée sur l’épaule. Les parfums de l’été, aux sensualités Que vos reflets attisent, m’entraînent vers ses pôles.
Etreinte abandonnée à cette peau hâlée, Vous êtes si exquise que mon ardeur s’envole. J’ai voulu esquivé se regard irisé, Foncière convoitise à vos allures frivoles.
Attirance ambiguë que l’on ne peut traduire, De timides caresses font frissonner nos cœur, Utopiques retenues ou l’envie de séduire ?
Parallèle tendresse qui attenue les peurs, Il y a des chemins qui étaient imprévus, Il y à des matins aux instincts reconnus.