Clair-obscur d'un sourire, l’amertume nue, Scintillement bleuté d'une larme de pluie. Zébrure violente d'un éclair souriant Foudroyant l'arbre mort de leurs amours ternis.
Lettres jamais postées, chroniques méconnues D'une passion jaunie. Les amants se sont fuis… Pourtant le doux zéphyr et l’alizé souriant Se souviennent de leurs émois en symphonie.
Un désert anhydre s'étend en parvenu Détruisant la plaine des amours alanguies. Quoique vibrent encore les échos balbutiants De leurs premiers gestes, dans leurs âmes flétries