Comme le chêne, s’enchaîne au sol, Pour éviter l’amour, tu reste seul Mais il est trop tard ; Je t’ai repérer. Ton sourire me fait rêver Et tes yeux me font chavirer. L’amour étant trop fort pour toi, Tu as quitté la solitude. Et tu es revenu me rejoindre. Dans te bras, je suis bien, Je m’y sens en aimer et en sécurité Tes lèvres sont chaleureuses Et tes paroles le sont tout autant. Des frissons me parcourt Lorsque par amour, Tu me caresse le corps Je voudrai que nos câlins ne finissent pas, Ou que le temps s’arrête à chacun de nos pas. Tout ce poème, pour n’espérer qu’une chose : Le retour de tes paroles, Ou encore celui de tes bras, Qui m’attendent impatiemment.