Poème de mai Qui me décourtise et me déserte En marge de l'exil et des parfums printaniers Je ne suis qu'un papillon épris de liberté Lorsque ton silence acéré transhume les heures émerveillées En solitude muette.
Poème de mai Pour réinventer l'aube pure des équinoxes Lorsque s'agenouille Impuissant Le cri des mes impatiences Suzeraines.
Stephen BLANCHARD (extrait de son recueil "Survitudes"