Ils méritent bien que je leur écrive une chanson. Ces jumeaux sont si généreux. Je dois dire que je les trouve si bons. Ce genre de bonheur qui va par deux.
Ils me réconfortent lorsque je me sens triste. Ils me remplissent lorsque j’ai faim. C’est tout mon corps qui part en orbite. Entre eux, il ne m’arrivera rien.
Tes seins que je caresse, Me procurent l’ivresse. Tes aréoles dorées Me font toujours saliver. Leur contact me redresse. Ensuite seulement viennent tes fesses. Il faut bien l’avouer, ça n’est pas du Shakespeare Mais cela reste un fait, tes seins me font… vibrer.
Lorsque je te fait la conversation. C’est à ta tête que je m’adresse. Mais le starter de ma passion. Ce sont tes seins que je caresse.
J’ai bien essayé d’être plus romantique. J’aimerai te dire que ce sont nos débats Qui me donnent la trique. Mais ce sont tes seins qui gagnent le combat.
Tes seins que je caresse, Me procurent l’ivresse. Tes aréoles dorées Me font toujours saliver. Leur contact me redresse. Ensuite seulement viennent tes fesses. Il faut bien l’avouer, ça n’est pas du Shakespeare Mais cela reste un fait, tes seins me font… vibrer.
Lorsque je vais à la messe, Et que je vois tous ces saints. Qui sont peinturlurés en haut de ces fresques. C’est sur ceux de marie que s’élancent mes mains.
Et même à la piscine, Je me noie et m’accroche à quoi ? À ces bouées divines Que tu gardes près de toi.
Tes seins que je caresse, Me procurent l’ivresse. Tes aréoles dorées Me font toujours saliver. Leur contact me redresse. Ensuite seulement viennent tes fesses. Il faut bien l’avouer, ça n’est pas du Shakespeare Mais cela reste un fait, tes seins me font… vibrer.
Le vent est mon complice Pour les faire pointer. Et mon sourire éclipse