Le sablier joue Du temps qui passe Et en moi je boue Que rien ne me lasse !
Dans cette toile Cloué au sol C’est le final Avant l’envol
Tu n’es pas là Juste en rêve J’entends ta voix Je me relève
Les rues sont vides La lumière grise Ruisseaux limpides Je n’ai plus prise.
Tombé sur le sol de ma décrépitude. Les passants me regardent d’une douce lassitude. La pluie chienne clapote, mon cœur grossi. Les bruits de bottes sous mes ennuis. Ils me tabassent, c’est pas gentil mais c’est gratuit. Je me laisse faire, je me donne à ces amants de peine. Tu n’es plus là ! Tout est foutu.