Mon ciel est ton palais de tulles en guenilles Où s’accroche une étoile à l’aide du corbeau, Et tes parcelles d’or germent sur mon tombeau En plaintives clartés sous l’ampleur des charmilles.
Ebloui d’univers qu’effleurent les ramilles, Las, ton pauvre sourire épuise ton cerveau : Fluide parodie, inerte renouveau, Mousseline de soie aux reins des jeunes filles.
L’Hymne de Mort exulte impitoyablement ! ! Comme aux veilles de deuil, ivre de châtiment, Il danse sa folie aux rythmes érotiques
Sublime sa colère au froid de mon regard Quand sur mes marbres blancs et leurs splendeurs antiques Dieu fige sur mon nom ton front noble et blafard…