Là, où la nuit tombée, le ciel s'illumine, L'univers infini se révèle et fascine. Dans le silence l'homme accueille la magie. L'irradiante splendeur, indicible, inouïe.
Le mystère absorbant rend l'esprit prophétique, Affaiblit la raison du penseur agnostique. Le mystère triomphant laisse l'âme éblouie. Ô mes lointains émois d'ensorceleuses nuits!
Les terriens insatiables, orgueilleux et jaloux, Qui veulent dominer, avoir accès partout, Après avoir créé d'immenses oiseaux de fer, Ont osé profaner le sublime univers.