Comme l'autre seulette, Sans être pour autant ma seule compagnie. Comme l'autre seulette, Isolée dans mon corps, très loin de ms amis. De ceux que j'aime encore.
Seulette dépouillée des regards et des gestes, Du timbre de ces voix devenues assourdies. Seulette, se rappelant sans en être alourdie, Les instants lumineux qui créaient une fête.
Comme l'autre seulette, Mais sans pleurs cependant ,grâce aux âmes illustres Qui parlent aux vivants, Les charment, les consolent, Des caprices du Sort.