Une chanson à la saveur de nostalgie, Me menant dans un rêve où souffle la tendresse, Se présente parfois en un temps qui m'oppresse, Dans un noir apeurant que défient des bougies.
Me menant dans un rêve, où souffle la tendresse, Au chant attendrissant de la mélancolie, Dans un noir apeurant que défient des bougies, Dont les petits feux clairs s'alimentent sans cesse.
Au chant attendrissant de la mélancolie, Ma pensée suspendue se réveille et se presse Restaure des émois que le temps qui agresse, Altère bien souvent ou fait que l'on oublie.
Ma pensée suspendue se réveille et se presse. La vie certaines fois se doit d'être embellie. Altère bien souvent ou fait que l'on oublie La mémoire qui trie en suprême maîtresse.