Tiennent les premiers rôles, l'épouvante et l'horreur Dans les séries, sans fin, concernant le malheur. Le tournage en plein air capte de par le monde Le spectacle apeurant de tortures immondes.
La Nature, louée pour sa magnificence, Est souillée par les actes qu'engendre la démence. Et l'on voit triompher, devenue pandémie Une rage féroce causée par la folie.
Il n'est point de vaccin pour apporter de l'aide Lors, seul le dieu unique aurait le bon remède. Pour qu'ils en soient conscients la brillante espérance Immerge les humains dans l'eau de la croyance.
Ô bien - être béni! La peur est écartée. On ressent le repos et la félicité. On a pour sa famille une douce assurance. Hélas! vaine est la foi contre l'intolérance.
Trompeuse est l'espérance, invincible pourtant. Elle est le baume doux s'imposant de tout temps Mais il devient urgent de trouver le remède Que la raison la force et qu'enfin elle cède !