Ton sourire toujours là à contempler le manque, Le souvenir, la douceur de tes yeux châtains clairs N’ont pas encore trouvé le repos d’une planque ; Aucune boite à ton nom dans aucun cimetière.
Protection de mes rimes, ô cauchemar insolent! Qui traverse l’amnésie de notre belle amitié, Où sont donc tes nouvelles depuis bientôt quatre ans ? Si ce n’est dans les lignes d’un poème abimé…
Ecrit et puis gommé par le temps qui s’exprime, Si tu rajoutes un point, laisse-moi te consoler : Les personnes que tu aimes sont encore plus sublimes Depuis que dans nos cœurs résident ta beauté.
Un petit bout de toi au fond de mes paupières, La caresse d’une joie impossible à tuer ; Promets-moi de rester pour bercer l’atmosphère De cet amour si pur que tu as inventé.