Qui donc peut se vanter d’avoir une seconde chance, Un sourire ranimé dans la bouche du pardon ? Toi et moi, passionnés dans un dernier silence, Fredonnant les refrains d’un nouvel horizon.
Il est là, dans ma tête, petit prince voyageur, Déchaînant l’océan contre mon cœur en pierre. Tu es là, réellement, mon petit porte-bonheur Pour purifier ma vie de toutes ces chimères.
Aime-moi beaucoup plus, encore plus fort que ça, Et chasse de ma peau la douceur de ses armes. Ce soir, je lève mes vers à la douleur d’un choix Que je dois assumer jusqu’au bout de mes larmes.