Voilà un an, déjà, que je n’ai plus écrit ça : La douleur des passions, la raison de mes doutes. Je me retrouve, serein, cheminant sur la voie Du bonheur, de l’âme sœur qui éclaire ma route.
Et je souffle et je crache à la face du hasard. Je dis : « merde » à ces cons et à toutes leurs raisons De penser que la pluie se transforme en brouillard, De pleurer que le feu donne naissance aux flocons.
Alors merci à tous ceux qui ont su m’écouter, Merci à leurs conseils, à leurs yeux généreux. Je promets qu’à ce jour ma vie sera tracée Par la joie de danser sur une valse à deux.