Tant d’espoir qui s’évanouissent quand le jour se lève, Tant de solitude qui envahissent chacun de mes rêves.
Tu étais la jouvencelle de mon cœur, Tu avais gravé mon âme d’un feu qui me rongeait Si fort que tu as finis par prendre peur De voir tout ce sang qui s’écoulait de mes plaies.
Tu es partie emportant ces peurs, Pour te reconstruire un avenir plus prometteur, En laissant défleurir ces fleurs Que je t’avais offertes pour effacer tes pleurs.
Aujourd’hui je suis solitude, Rêveur tourmenté à l’idée de t’imaginer Rongée par une incertitude De m’avoir, de la sorte, abandonné.