Puisqu'il nous faut mourir, redevenir poussière, Comme l'intelligence et la beauté sont vaines, Puisque tout doit finir, l'amour comme la haine, Comme ce monde absurde a des sombres lumières,
Partons, disparaissons. Ceux que l'on a aimé, Ne sont que souvenirs. Il ne reste plus rien De ma mère de chair. Comment appréhender Cette réalité ? Je ne me sens pas bien !
Le décès de maman a retourné ma vie. J'ai beau croire à l'Amour, aux forces de l'Esprit, Le néant de son corps redevenu poussière,
Obnubile mon âme, affecte mes prières. La Foi que Jésus Christ demande de trouver, Dépasse la raison de mon cœur déchiré.