Pendant que le Démon, inexorablement, Me traîne lentement aux côtés du péché ; Dieu, patient, attentif et silencieusement, Règne dans la Terreur, et je suis effrayé.
Encore une autre fois, mon cœur est partagé, Mon âme est déchirée et je suis épuisé. Je suis à la dérive, et je ne sais quoi faire D’un corps embarrassant que je traîne sur Terre.
Le cycle de la vie est maintenant lassant. Après l’été, l’automne ; et l’hiver, le printemps. Enfant, adolescent, adulte et moribond, Année après année, et cela, à quoi bon ?
Le diable s’est épris continûment de moi ; Il éveille mes sens, exalte mes désirs... Mais au-dessus de lui, je crains un autre Roi, Que je ne comprends pas. Lequel faut-il maudire ?