Je me suis abritée un soir A l’ombre de ton regard Et je me suis noyée ce matin Dans les larmes de mon chagrin
Je voulais un compagnon de fortune Et n’ai trouvé pour cela que la lune Levés les yeux haut vers le ciel Et garde en moi ce souvenir éternel
Je te dis des mots pour ne point pleurer Je t’écris pour ne jamais t’oublier Et pourtant ce souvenir en moi en permanence Lorsque sonna le glas de la dernière danse
Les mots résonnent dans ma tête Comme un chant d’enfant à tue-tête Et je n’oublierai jamais ce quai de gare Où tu m’as laissée dans le désespoir……..