Mon piano et moi jouions tranquillement, dans un coin de la Soudain, je sentis les touches transpirer. Les cordes, tendues à l'extrême, rendaient un son plus aigu Le piano émettait de longs soupirs, nous faisant perdre la m Je vis alors sa peur, toute bleue, monter le long de mes dix Me retournant, je découvris la raison de son effroi: le gran Je m'écartais, les laissant face à face, sachant bien la ha Devant l'agresseur dont les branches se déroulaient, mon pi La bataille fut terrible... Mordu par une ode cruelle, étranglé par une violente symphon Nous avions à nouveau de belles années de tranquillité devan
Tout est pour le mieux, sinon que mon piano, depuis lors, se